Fondation Jean Piaget

Pour en savoir plus


JP41_5: Le mécanisme du développement mental
Publié en 1941, ce long article contient la première tentative d’élaboration d’une théorie générale des mécanismes intervenant dans la construction des différentes structures psychologiques.

EEG2: Logique et équilibre
Le deuxième tome des études d’épistémologie génétique contient un important texte de Piaget sur le mécanisme d’équilibration par lequel sont construits les groupements et groupes constatés dans le développement de l’intelligence sensori-motrice, puis représentative. Le modèle proposé repose sur les notions de décentration et de régulation. Un large emprunt est alors fait à la théorie mathématique des jeux.

JP66b: La psychologie de l’enfant
Les conclusions de cet ouvrage décrivent une nouvelle fois les quatre facteurs qui interviennent dans le développement intellectuel de l’enfant. L’expérience physique, les transmissions et les interactions sociales, ainsi que la maturation, sont tous nécessaires à ce développement, mais ils ne suffisent pas à rendre compte du caractère dirigé de ce développement. Ils doivent être complétés par celui de l’équilibration, qui occupe un rôle central dans la psychologie et l’épistémologie de Piaget.

JP75: L’équilibration des structures cognitives
Cette étude contient l’essai le plus poussé réalisé par Piaget pour rendre compte de la construction de structures et de schèmes cognitifs de plus en plus puissants. Le nouveau modèle proposé s’applique à la totalité des constructions cognitives, y compris la causalité opératoire.

EEG34 et EEG35: Recherches sur l’abstraction réfléchissante
Ces deux volumes des études d’épistémologie génétique contiennent l’exposé des recherches réalisées sur ce processus central des constructions cognitives qu’est l’abstraction réfléchissante.

EEG36: Recherches sur la généralisation
Ces recherches sont importantes en ce qu’elles soulignent le rôle que jouent les lacunes internes à un système cognitif dans la construction d’un système plus puissant.

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[…] c’est donc une question dépourvue de sens de se demander si la logique ou les mathématiques sont en leur essence individuelles ou sociales: le sujet épistémique qui les construit est à la fois un individu, mais décentré par rapport à son moi particulier, et le secteur du groupe social décentré par rapport aux idoles contraignantes de la tribu, parce que ces deux sortes de décentrations manifestent l’une et l’autre les mêmes interactions intellectuelles ou coordinations générales de l’action qui constituent la connaissance.