Fondation Jean Piaget

L'épistémologie de la logique et des mathématiques



Sommaire du chapitre IV:

4.1 La logique

4.2 La notion de faits normatifs

4.3 La formation des structures de groupe et de groupement

4.4 La notion d’implication signifiante

4.5 Les relations entre le possible et le nécessaire

4.6 La pensée mathématique

4.7 La construction du nombre

4.8 L'élaboration de l'espace

4.9 Le développement de la mesure

4.10 Le développement historique et psychogénétique de la géométrie

4.11 L'évolution de l'algèbre

Liste des ouvrages cités dans les Chapitres 4 et 5

A.P., XLV: Archives de psychologie, Vol. XLV
B.C. : Biologie et connaissance. (JP67a)
D.Q.P.E. Le développement des quantités physiques chez l’enfant . (JP41a)
E.G. : L’épistémologie génétique. (JP70a)
E.E.G., Vol. 11, P.C.N.: Études d’épistémologie génétique: Problèmes de la construction du nombre. (EEG11)
E.E.G., Vol. 14 E.M.P : Études d’épistémologie génétique: Épistémologie mathématique et psychologie. (EEG14)
E.E.G., Vol. 16, I.F. et L.N.: Études d’épistémologie génétique: Implications, formalisation et logique naturelle. (EEG16)
E.E.G., Vol. 33 E.S.C.: L’équilibration des structures cognitives. (EEG33)
E.E.G., Vol. 36, R.G.: Recherches sur la généralisation. (EEG36)
E.G.E.: Épistémologie génétique et équilibration. (JP76b)
I.E.G., Vol. I: Introduction à l’épistémologie génétique, Volume I . (JP50a)
I.E.G., Vol. II: Introduction à l’épistémologie génétique, Volume II. (JP50b)
I.E.G., Vol. III: Introduction à l’épistémologie génétique, Volume III. (JP50c)
L.C.S : Logique et connaissance scientifique. (JP67b)
P.N. (1) E.P.E Le possible et le nécessaire (1) L’évolution des possibles chez l’enfant. (JP81a)
P.N. (2) E.N.E Le possible et le nécessaire (2) L’évolution du nécessaire chez l’enfant. (JP83a)
P.P.G.: Problèmes de psychologie génétique. (JP72c)
P.S.H.: Psychogenèse et histoire des sciences. (JP83b)
R. et C.: Réussir et comprendre. (JP74c)
R.E.E : La représentation de l’espace chez l’enfant. (JP48a)
S.I.P.: Sagesse et illusion de la philosophie. (JP65b)

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[…] on ne voit ni ne perçoit jamais le temps comme tel, puisque, contrairement à l’espace ou à la vitesse, il ne tombe pas sous les sens. On ne perçoit que les événements, c’est-à-dire les mouvements et [p. 286] les actions, leurs vitesses et leurs résultats. Tandis que l’ordre des événements détermine alors les successions temporelles, ce sont les mouvements eux-mêmes, c’est-à-dire les espaces parcourus par rapport à leurs vitesses, ou les actions elles-mêmes, c’est-à-dire les travaux accomplis relativement à l’activité, qui manifestent les durées.