Fondation Jean Piaget

Pour en savoir plus


JP49: Traité de logique
Cet ouvrage est l’un des trois écrits consacrés par Piaget à l’exposé de la "logistique" opératoire construite dans le but de modéliser les conduites et les opérations logiques de la pensée concrète et de la pensée formelle. Son introduction présente les rapports de la logique avec la psychologie et discute le problème de l’objet de la logique.

JP61:Épistémologie des mathématiques
Composé avec le logicien Beth, cet ouvrage est le résultat de la sévère critique adressée par ce savant au traité de logique publié par Piaget en 1949. Piaget y expose longuement ses thèses sur les origines épistémologiques de cette discipline.

JP67b: Logique et connaissance scientifique
Dans un chapitre sur l’épistémologie de la logique, Piaget expose une nouvelle fois sa thèse selon laquelle la logique a pour objet l’axiomatisation des opérations logiques ou des structures opératoires du sujet. Il y présente également sa conception sur l’origine épistémologique de la logique (celle-ci résulte d’un processus d’abstraction réfléchissante portant au départ sur les coordinations générales des actions du sujet).

JP70a: Épistémologie génétique
Cette brève introduction à l’épistémologie génétique contient un chapitre sur l’épistémologie de la logique. L’auteur expose l’essentiel de ses thèses en insistant tout particulièrement sur le caractère créateur et nécessairement ouvert de la pensée logique.

JP87b: Vers une logique des significations
Co-rédigé avec Rolando Garcia, Cet ouvrage contient la révision que proposent les deux auteurs pour compléter l’ancienne logique opératoire de Piaget, dans laquelle il était surtout question des opérations logiques portant sur les quantités logiques, au détriment des actions logiques portant directement sur les significations traitées par la pensée ou liées aux schèmes sensori-moteurs du bébé.

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[…] de même que l’individu se libère de son égocentrisme intellectuel en prenant conscience de son point de vue propre pour le situer parmi les autres, de même la pensée collective se libère du sociocentrisme en découvrant les attaches qui la relient à la société et en se situant dans l’ensemble des rapports qui unit celle-ci à la nature elle-même.