Fondation Jean Piaget


Jean Piaget: Vanité de la nomenclature et autres écrits de jeunesse

par Fernando Vidal (1999)


Les documents présentés ci-joints sont des écrits de jeunesse ou des textes d'exposés du jeune Piaget accompagnés de procès verbaux. Ces documents sont présentés et introduits par Fernando Vidal. Ils sont présentés ici sous forme de PDF conservant la mise en page concue par Chris Lalonde pour la "Jean Piaget Society".

Nous remercions Fernando Vidal et Chris Lalonde d'avoir autorisé la présente reproduction des pages du site de la "Jean Piaget Society" exposant les écrits de jeunesse de Piaget.

La vanité de la nomenclature et autres écrits de jeunesse


Table des chapitres:

Préambule de F. Vidal
Textes de Jean Piaget (introduits et annotés par F. Vidal)
  • I. Un mollusque spécial à notre lac (1910)
    Suivi d'une "critique officielle" et d'un procès-verbal
    (format PDF)

  • II. Généralités sur la distribution géographique des Mollusques (1910)
    Suivi d'un procès-verbal
    (format PDF)

  • III. Les Mollusques de la région supérieure du Val d'Hérens (1910)
    Suivi d'un procès-verbal
    (format PDF)

  • IV. Les mollusques terrestres et fluviatiles des environs de Binic (1911)
    Suivi d'un procès-verbal
    (format PDF)

  • V. Quelques observations sur le mimétisme des mollusques neuchâtelois (1911)
    Suivi d'un procès-verbal
    (format PDF)

  • VI. La vanité de la nomenclature (1912)
    Suivi d'un procès-verbal
    (format PDF)

  • VII. La vie animale dans les profondeurs des océans et de nos lacs (1913)
    Suivi d'un procès-verbal
    (format PDF)

  • VIII. Annexes
    (format PDF)

Piaget Poète, avec deux sonnets oubliés de 1918

par Fernando Vidal (1994)




[…] dès le point de départ de l’activité sensori-motrice, les actions particulières, qui donnent lieu aux premières connaissances physiques impliquent une coordination entre elles, et cette coordination, constitue la première forme de ce que seront les liaisons logico-mathématiques, en particulier spatiales. Inversement, il ne saurait y avoir, sur le plan de l’action, de coordination générale sans actions particulières à coordonner. Il y a donc dès le principe union du physique et du logico-mathématique, non pas sous la forme de deux réalités d’abord indépendantes qui entreraient en contact, mais sous la forme de deux aspects à la fois indissociables et irréductibles de la même totalité active.