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Les 5 derniers textes électroniques téléchargés sont :
Ce texte (qui sera prochainement mis à disposition) est la dernière des 13 causeries sur l'intelligence enregistrées par Piaget à la Radio Suisse Romande le 3 mars 1951. Dans cette Causerie 13, Piaget expose les conclusions épistémologique les plus générales qui peuvent être tirées à partir des résultats des enquêtes psychogénétiques sur l’accroissement des connaissances chez l’enfant et l’adolescent. L’étude de la genèse des connaissances permet de conclure que, contrairement à l’empirisme, qui conçoit la connaissance comme une copie d’une réalité préexistante et comme dérivant des sensations, et à l’apriorisme kantien, pour lequel les structures d’assimilation de la réalité seraient données dès le départ, c’est à travers ses actions sur l’objet et son accommodation à ce dernier que le sujet construit progressivement ces structures d’assimilation (l’apriori kantien ne se retrouvant plus que dans les «formes d’équilibre final qu’atteint la pensée dans tel ou tel domaine de connaissances», et non pas au départ de l'évolution cognitive).
(Le visiteur peut entendre l'exposé de Jean Piaget en cliquant sur le lien hypertexte ci-dessus.)
Ce texte (qui sera prochainement mis à disposition) est la 12ème des 13 causeries sur l'intelligence enregistrées par Piaget à la Radio Suisse Romande le 3 mars 1951. Dans cette Causerie 12, Piaget y résume en 10 minutes sa théorie opératoire de l’intelligence en tant que coordination progressive de structures, depuis la naissance jusqu’à l’adolescence. Cette coordination aboutit à ces structures d’équilibre final que sont tout d’abord les regroupements d’opérations concrètes (entre 6-7 et 9-10 ans), puis les regroupements d’opérations formelles (entre 12 et 14 ans environ). Ces structures d'équilibre final se caractérisent par leur stabilité et leur mobilité, mais aussi par la réversibilité des opérations qui les composent.
(Le visiteur peut entendre l'exposé de Jean Piaget en cliquant sur le lien hypertexte ci-dessus.)
Ce texte (qui sera prochainement mis à disposition) est la 11ème des 13 causeries sur l'intelligence enregistrées par Piaget à la Radio Suisse Romande le 3 mars 1951. Dans cette Causerie 11, Piaget présente la théorie de l’intelligence développée par Edouard Claparède, à la suite d’autres psychologues, principalement américains. Selon ces auteurs, qui s’opposaient à la doctrine associationniste présentée par Piaget dans sa précédente conférence, l’intelligence est fondamentalement une démarche de tâtonnement procédant par essais et erreurs, à la façon du mécanisme de variations fortuites et sélection mis en avant par Darwin pour rendre compte de l’évolution des espèces. Comme le souligne Piaget, Claparède a toutefois insisté sur le caractère dirigé du tâtonnement en montrant comment les questions que se posent les sujets, les besoins qu’ils éprouvent, guident leur recherche de solutions.
Claparède va même plus loin, puisque, pour rendre compte de l’orientation que peut prendre le tâtonnement, il évoque non seulement le rôle de la question ou du besoin, mais également celui des implications que peut faire un sujet à partir de ses expériences passées, et qui pourront être ou non confirmées dans la nouvelle situation problématique dans laquelle ce sujet peut se trouver. La conception de Claparède est ainsi plus apte à cerner l’apport du sujet dans le processus du tâtonnement.
Mais Piaget souligne à son tour les limites de la conception de Claparède. Premièrement, il montre comment le besoin ou la question qui oriente le tâtonnement se rattache nécessairement à des structures préalables (pour Piaget, le besoin est la manifestation du déséquilibre d'une structure). Il montre ensuite comment l’implication en tant qu’inférence accompagnant l’assimilation d’une situation problématique n’est pas primitive mais résulte de la constitution préalable d’un schème d’assimilation, acquis lors des confrontations passées du sujet avec tel ou tel milieu voisin de cette nouvelle situation. Une fois un tel schème acquis, l’implication peut découler de l’assimilation de la nouvelle situation à ce schème, cette assimilation permettant en effet au sujet de prévoir les actions à entreprendre pour résoudre le problème rencontré…
(Le visiteur peut entendre l'exposé de Jean Piaget en cliquant sur le lien hypertexte ci-dessus.)
Ce texte est la 10ème des 13 causeries sur l'intelligence enregistrées par Piaget à la Radio Suisse Romande le 3 mars 1951. Dans cette Causerie 10, Piaget présente la nouvelle forme qu'a pu prendre l'associationnisme et l'empirisme à la suite des premiers travaux de l'école de la Gestalt, et la critique qu'en a faite Kœhler. Il expose ensuite la forme prise par l'empirisme chez Mach et chez Rignano, qui repose sur la notion d'expérience mentale, et la critique qu'en a faite Claparède. Piaget ajoute à cette dernière critique le constat selon lequel l'expérience mentale n'est pas avant tout copie du réel, mais imagination des actions que le sujet peut faire sur le réel. Enfin, Piaget résume la théorie de l'éduction des corrélats développée par Spearman, en montrant là aussi que les relations ne sont pas tirées du réel, mais sont construites par le sujet — en aboutissant à cette logique des relations qui a fait l'objet d'une précédente causerie de Piaget…
(Le visiteur peut entendre l'exposé de Jean Piaget en cliquant sur le lien hypertexte ci-dessus.)
Ce "manuscrit" contient le texte de la 9ème des 13 causeries sur l'intelligence enregistrées par Piaget à la Radio Suisse Romande le 3 mars 1951, texte qui cerne l'apport et les limites de la Gestaltpsychologie dans l'explication de l'intelligence.
Dans cette Causerie 9, tout en reconnaissant l'indéniable apport de la psychologie de la forme et des expériences de Kœhler, Wertheimer, Duncker, etc., Piaget expose les deux lacunes principales de l'explication qu'elle donne de l'intelligence sensori-motrice et de l'intelligence logico-mathématique:1° l'absence de considération des transformations, 2° l'insuffisante considération de la dimension historique dans la constitution des structures intellectuelles.
(Le visiteur peut entendre l'exposé de Jean Piaget en cliquant sur le lien hypertexte ci-dessus.)
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