Fondation Jean Piaget

Les textes suivants sont en cours d'édition et seront prochainement mis à disposition des utilisateurs:

Livres

1951 (avec B. Inhelder).
La genèse de l’idée de hasard chez l’enfant
Présentation
[Présentation FJP, révision 18 mars 2011]

L’avant-propos, l’introduction et les chapitres 7, 8, 9 composant le troisième partie, ainsi que la conclusion générale de cet ouvrage sont disponibles sur la page Chapitres de 1951 à 1970 du site de la Fondation Jean Piaget.


Articles, Chapitres, Extraits, Préfaces, ...

1960 (avec D. E. Berlyne).
Théorie du comportement et opérations
Présentation
[Présentation FJP, 8 janvier 2013]

Ce volume XII des Etudes d’épistémologie génétique contient en première et en deuxième partie deux essais de Daniel Berlyne cherchant à traduire la conception piagétienne du développement cognitif (et en particulier des apprentissages et constructions opératoires) dans le cadre d’une théorie étendue des apprentissages stimulus-réponse d’inspiration hullienne. Dans les termes de l’épistémologie piagétienne, le résultat auquel parvient Berlyne peut être considérée comme une assimilation réciproque des deux théories en jeu.

La troisième et dernière partie de l’ouvrage est une discussion par Piaget des résultats obtenus par Berlyne et révèle la façon dont Piaget a toujours recherché cet accord mutuel des esprits qui a ses yeux est l’un des moteurs essentiels de l’avancement des sciences. Les trois parties de cet ouvrage, ainsi que l’avant-propos vraisemblablement rédigés par Pierre Gréco sont disponibles sur les pages suivantes du site de la Fondation Jean Piaget:

Littérature secondaire II (pour les parties 1 et 2);

Articles - Chapitres de livres - Brochures - Manuscrits - Préfaces (par ordre chronologique) (pour la partie 3);

et enfin:

Littérature secondaire I (pour l’avant-propos)


Littérature secondaire I et II

1966 Bärbel Inhelder.
Développement, régulation et apprentissage
Présentation
A paraître en octobre 2016




[…] le principal facteur qui pousse l’enfant à prendre conscience de lui et des motifs qui le déterminent, c’est le contact et surtout l’opposition avec la pensée des autres. Avant ces heurts de nature sociale l’enfant est porté à croire immédiatement à toutes les hypothèses qui lui traversent l’esprit sans éprouver le besoin de preuve, ni être capable, pour faire la preuve, de prendre conscience des motifs qui l’ont réellement guidé.

J. Piaget, Le jugement et le raisonnement chez l'enfant, 1924, 3e éd. et suivantes, p. 28