[…] au sein même de la conduite, la conscience n’est jamais réduite au fait organique, ni par conséquent l’implication (complète ou même incomplète) à la causalité […] Il n’est donc jamais question de tirer purement et simplement le fait de conscience (ou d’implication) du fait organique (ou de causalité), mais uniquement de chercher, dans une conduite déterminée, à quel fait organique peut «correspondre» (par simple isomorphisme ou parallélisme) tel fait de conscience ou d’implication.
J. Piaget, , 1950, p. 161